Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Où est donc passée cette solidarité africaine qui faisait notre force, notre fierté ? Jadis, une grand-mère, une sœur, une cousine, étaient toujours là, prêtes à veiller sur les enfants de celles qui partaient travailler. Aujourd’hui, les mères se retrouvent contraintes de confier leurs bébés, à peine âgés de quelques mois, à des garderies impersonnelles. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. Pourquoi ?
Tout le monde veut évoluer.
Tous veulent travailler.
Tous veulent gagner de l’argent.
Mais à quel prix ? Où sont passées nos valeurs de partage, d’entraide, de communauté ? Plus personne ne veut prendre le temps d’aider, de porter le fardeau de l’autre. Chacun pour soi, voilà la triste réalité qui nous frappe aujourd’hui. C’est la démocratie, la mondialisation, l’individualisme galopant. Mais ces notions, telles qu’elles se développent aujourd’hui, sont sans pitié, sans fraternité. Elles nous éloignent de ce qui faisait notre essence, notre humanité.
C’EST DOMMAGE. C’EST TRAGIQUE.
Est-ce cela, l’émancipation de la femme ? Est-ce cela, l’évolution que nous recherchions ? Que devient la famille, ce pilier fondamental ? Que devient l’éducation de nos enfants, qui sont notre avenir ? Sommes-nous vraiment prêts à sacrifier l’éducation, l’amour et le soin de nos enfants sur l’autel du progrès matériel ?
Il est temps de se poser les bonnes questions. Il est temps de se réveiller, de reprendre conscience de ce que nous sommes en train de perdre. L’émancipation ne doit pas se faire au détriment de nos valeurs, de nos familles, de nos enfants. Nous devons retrouver cet équilibre, réapprendre à nous entraider, à nous soutenir. Car ce n’est qu’ensemble, unis par notre solidarité, que nous pourrons véritablement évoluer, sans perdre ce qui fait notre identité.
Le temps presse. Si nous n’agissons pas maintenant, que restera-t-il de nos familles, de notre solidarité, de notre Afrique ? Le cri d’alarme est lancé. Ne fermons pas les yeux, n’ignorons pas les signes. Nous avons le pouvoir de changer les choses, de revenir à l’essentiel. Mais pour cela, il faut que chacun prenne conscience, que chacun agisse. Ensemble.
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Où est passée notre solidarité africaine ?
Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Où est donc passée cette solidarité africaine qui faisait notre force, notre fierté ? Jadis, une grand-mère, une sœur, une cousine, étaient toujours là, prêtes à veiller sur les enfants de celles qui partaient travailler. Aujourd’hui, les mères se retrouvent contraintes de confier leurs bébés, à peine âgés de quelques mois, à des garderies impersonnelles. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. Pourquoi ?
Mais à quel prix ? Où sont passées nos valeurs de partage, d’entraide, de communauté ? Plus personne ne veut prendre le temps d’aider, de porter le fardeau de l’autre. Chacun pour soi, voilà la triste réalité qui nous frappe aujourd’hui. C’est la démocratie, la mondialisation, l’individualisme galopant. Mais ces notions, telles qu’elles se développent aujourd’hui, sont sans pitié, sans fraternité. Elles nous éloignent de ce qui faisait notre essence, notre humanité.
C’EST DOMMAGE. C’EST TRAGIQUE.
Est-ce cela, l’émancipation de la femme ? Est-ce cela, l’évolution que nous recherchions ? Que devient la famille, ce pilier fondamental ? Que devient l’éducation de nos enfants, qui sont notre avenir ? Sommes-nous vraiment prêts à sacrifier l’éducation, l’amour et le soin de nos enfants sur l’autel du progrès matériel ?
Il est temps de se poser les bonnes questions. Il est temps de se réveiller, de reprendre conscience de ce que nous sommes en train de perdre. L’émancipation ne doit pas se faire au détriment de nos valeurs, de nos familles, de nos enfants. Nous devons retrouver cet équilibre, réapprendre à nous entraider, à nous soutenir. Car ce n’est qu’ensemble, unis par notre solidarité, que nous pourrons véritablement évoluer, sans perdre ce qui fait notre identité.
Le temps presse. Si nous n’agissons pas maintenant, que restera-t-il de nos familles, de notre solidarité, de notre Afrique ? Le cri d’alarme est lancé. Ne fermons pas les yeux, n’ignorons pas les signes. Nous avons le pouvoir de changer les choses, de revenir à l’essentiel. Mais pour cela, il faut que chacun prenne conscience, que chacun agisse. Ensemble.
6 mois ago Book, Livreur 2 soleil