Ah, la langue française… On pourrait croire qu’elle a été créée dans un moment d’inspiration divine, mais en y regardant de plus près, on dirait plutôt que les créateurs ont organisé une sorte de réunion secrète pour nous compliquer la vie. Imaginez la scène : un groupe de linguistes farceurs, dans un sous-sol obscur, en train de débattre pour savoir si « ph » ou « f » conviendrait mieux. Ils ont dû se dire : « Allez, faisons ça au hasard, juste pour embrouiller les futurs écoliers ! »
C’est ainsi qu’on se retrouve avec des « magasins » et des « magazines ». Pourquoi la différence ? Eh bien, peut-être que le créateur de l’alphabet était en train de feuilletter un magazine pendant la réunion et a simplement ajouté un « z » pour voir si quelqu’un allait protester… Personne ne l’a fait. Et voilà, on a deux mots qui se ressemblent mais ne se prononcent pas pareil. Merci les gars !
Puis vient la grande question du « ph » contre « f ». Pourquoi « pharmacie » et pas « facteur » ? Apparemment, à un moment donné, l’académie française a voulu faire très chic, très sophistiquée. Un « ph », ça vous donne tout de suite un air plus sérieux, plus médical. Imaginez une enseigne « Farmacie »… Ça aurait l’air d’une ferme plutôt que d’un endroit où on va chercher ses médicaments !
Et que dire des serpents et des cerises… Pourquoi pas « cerpant » et « serise » ? Certainement parce que c’était trop simple. Ils voulaient que chaque écolier se pose la question à voix haute : “Mais pourquoi ?” et ainsi susciter de longs moments de confusion collective, tout en buvant leur thé avec un petit sourire narquois.
Les linguistes ont également dû prévoir des petites séances de torture orthographique pour se divertir. Sinon, comment expliquer des choses comme les homonymes ? Que quelqu’un m’explique pourquoi on peut écrire « vert », « ver », « vers » et « verre » et que tout le monde comprenne… ou prétende comprendre pour ne pas se faire remarquer.
Ah, le français ! Ce n’est pas une langue, c’est un jeu de piste, une énigme à résoudre. Peut-être qu’à force de jongler entre les sons et les lettres, on finit par apprécier la beauté du chaos. Ou alors, on en rigole simplement, avec l’impression que quelque part, dans une autre dimension, un groupe de linguistes rigole avec nous, mission accomplie.
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La langue française
Ah, la langue française… On pourrait croire qu’elle a été créée dans un moment d’inspiration divine, mais en y regardant de plus près, on dirait plutôt que les créateurs ont organisé une sorte de réunion secrète pour nous compliquer la vie. Imaginez la scène : un groupe de linguistes farceurs, dans un sous-sol obscur, en train de débattre pour savoir si « ph » ou « f » conviendrait mieux. Ils ont dû se dire : « Allez, faisons ça au hasard, juste pour embrouiller les futurs écoliers ! »
C’est ainsi qu’on se retrouve avec des « magasins » et des « magazines ». Pourquoi la différence ? Eh bien, peut-être que le créateur de l’alphabet était en train de feuilletter un magazine pendant la réunion et a simplement ajouté un « z » pour voir si quelqu’un allait protester… Personne ne l’a fait. Et voilà, on a deux mots qui se ressemblent mais ne se prononcent pas pareil. Merci les gars !
Puis vient la grande question du « ph » contre « f ». Pourquoi « pharmacie » et pas « facteur » ? Apparemment, à un moment donné, l’académie française a voulu faire très chic, très sophistiquée. Un « ph », ça vous donne tout de suite un air plus sérieux, plus médical. Imaginez une enseigne « Farmacie »… Ça aurait l’air d’une ferme plutôt que d’un endroit où on va chercher ses médicaments !
Et que dire des serpents et des cerises… Pourquoi pas « cerpant » et « serise » ? Certainement parce que c’était trop simple. Ils voulaient que chaque écolier se pose la question à voix haute : “Mais pourquoi ?” et ainsi susciter de longs moments de confusion collective, tout en buvant leur thé avec un petit sourire narquois.
Les linguistes ont également dû prévoir des petites séances de torture orthographique pour se divertir. Sinon, comment expliquer des choses comme les homonymes ? Que quelqu’un m’explique pourquoi on peut écrire « vert », « ver », « vers » et « verre » et que tout le monde comprenne… ou prétende comprendre pour ne pas se faire remarquer.
Ah, le français ! Ce n’est pas une langue, c’est un jeu de piste, une énigme à résoudre. Peut-être qu’à force de jongler entre les sons et les lettres, on finit par apprécier la beauté du chaos. Ou alors, on en rigole simplement, avec l’impression que quelque part, dans une autre dimension, un groupe de linguistes rigole avec nous, mission accomplie.
3 mois ago Book, Livreur 2 soleil